
C'est chez Me Eolas et ça mérite le détour :
France, patrie des droits de l'homme... (lisible quand Me Eolas aura terminé sa grève) :
(...) la cour trouve que condamner un homme qui a dit la vérité sur un sujet d'intérêt général (...), ça ne s'appelle pas de la liberté d'expression, mais de la police politique (...). Dire qu'il aura fallu aller jusqu'à Strasbourg pour que cette évidence soit dite.
On comprend pourquoi les organismes français de SS tiennent à éviter à tout prix qu'on les traîne devant les tribunaux européens... Le dernier pays soviétique au monde n'y a pas que des amis...
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